L’ouverture du jeu bonus sur le plateau de Monopoly est l’événement le plus attendu par des milliers de joueurs. C’est l’instant palpitant qui donne accès à l’un des décors immersifs les plus réussis du catalogue d’Evolution.
Contrairement à d’autres jeux en direct, cette partie bonus ne s’achète pas : elle se déclenche en complétant une carte à 3 numéros (« 3 Rolls ») ou à 4 numéros (« 5 Rolls ») lors du tirage effectué dans le boulier. Une fois cette étape franchie, on bascule dans une vision 3D du plateau sublimée par une immersion interactive.
Le jeu débute sous une pluie de multiplicateurs, de ×1 à ×500. Comme dans le Monopoly traditionnel, la dernière ligne droite est toujours la plus lucrative. Tous les regards se tournent alors vers Monsieur Monopoly, élégant dans son costume blanc de marin. Il incarne le pion animé de la partie bonus et avance du nombre de cases indiqué par la paire de dés, en gambadant par petits pas rapides. Véritable maître du jeu, il entraîne les joueurs, récupère les multiplicateurs sur les cases où il s’arrête et révèle le contenu des cartes habituellement tirées par les joueurs (Communauté, Chance).
L’avancée sur le plateau se fait grâce à de vrais lancers de dés, accompagnés d'un roulement de tambour. À chaque double obtenu, la règle offre un lancer additionnel gratuit, une opportunité rêvée de prolonger l’aventure aux côtés de Monsieur Monopoly jusqu’à son triomphe.
Même si le cadre est désormais nautique, le plateau du Monopoly demeure conforme au jeu original d’Hasbro. On y retrouve les groupes de propriétés et leurs couleurs, les gares, les services publics, ainsi que les célèbres cartes « Chance » et, bien sûr, « Caisse de Communauté ». Ces cartes, que l’on pioche dans le jeu traditionnel, continuent de réserver leur lot de surprises — bonnes ou mauvaises. Dans Monopoly Big Baller, ces tirages représentent surtout des occasions manquées d’empocher de solides multiplicateurs sur les propriétés voisines.
Bien que peu nombreuses, les cases « négatives » sont également présentes : différentes taxes et, surtout, la prison. Le pire scénario survient lorsque Monsieur Monopoly atterrit sur « Allez en prison » ; il ne reste plus qu’à espérer un double pour en sortir.
À l’inverse, passer à nouveau par la case « GO » déclenche un instant euphorique : un spectaculaire feu d’artifice retentit et tous les multiplicateurs sont immédiatement doublés.